Il est un fait aujourd'hui avéré : la plupart des jeunes ne savent plus et/ou ne veulent plus écrire. Pourquoi se donner le mal d'apprendre une langue difficile comme le français alors qu'on peut se contenter de se faire comprendre en envoyant un texto avec des mots diminués tels " à 2m1" (à demain), "pk" (pourquoi) ou encore "slt" (salut) ? 

Imaginez un instant  à quoi pourrait ressembler les livres de demain : Michel Houellebecq avec son roman "la kart & le téritouar", Jean-Chistophe Grangé et son "pas sajé" ou encore la dernière BD de Zep avec un Titeuf écrit entièrement en langage sms (là, je pense qu'il me faudra bien une semaine pour le terminer, avec un dictionnaire à ma disposition et une grosse boite d'aspirine  ;-p).

Écrire peut devenir un vrai plaisir. Il suffit simplement d'avoir de bons outils, quelques connaissances et surtout une grosse envie.

Au Style oh !, avec ses créations, nous offre déjà les outils. A vous de voir pour le reste ! :-)

... la porte d'entrée était vitrée et protégée par une grille en fonte, comme c'était la mode au début du siècle dernier.

C'était une grille moulée au décor généreux et très ouvragé, dans les volutes de laquelle je voyais selon mon humeur l'entrée d'un bois secret et mystérieux,  les jardins à la française d'un château des bords de Loire ou un gratin de chou-fleur...

Eh bien croyez-moi si vous voulez, mais quand Oued nous a envoyé ses perles cette semaine, je me suis revue devant la grille de la maison...

Derrière ces grilles-là aussi, des souvenirs peut-être sont cachés...

Euhhhhh.... c'est marrant j'ai comme une envie de gratin de chou-fleur moi tout d'un coup !

avec Alison

Lorsque l'on commence à travailler la polymère, pour peut que l'on s'y intéresse un peu et par pure curiosité, une des premières choses que l'on fait est d'aller surfer sur le net pour "l'observer dans son milieu naturel".

On s'installe donc confortablement, devant son écran, les pop corns/bière/clope (rayez la mention inutile) à portés de main, on pianote quelques mots tels "polymer clay", "milleflori", j'en passe et des meilleurs ... et là, c'est le drame ! Des colliers nous laisse bouche bée, des figurines nous font défaillir, on pleure d'émotions devant les dernières boucles d'oreilles de Trucmuche et Machin-Chose ...

Bref, on se retrouve avec un choix :

- Soit on éteint son PC (ou son Mac, nous n'avons pas tous de la chance ;-p), on jette tout son matos à la poubelle en crachant dessus et on se venge sur le dernier paquet de BN des enfants,

- Soit on décide de persévérer pour arriver, un jour, à faire que les futurs nouveaux jeunes créateurs n'aient que quelques jours d'existence et finissent, eux aussi, à cracher sur leur machine à pâte et nous refilent tout leurs pains de polymère. (Il est évident que dans ce choix, il nous est impossible de leur dire qu'il faut continuer et s'accrocher, sinon, cela ne servirait à rien ^^). Bref, vous vous transformerez vous aussi en "créatueur reconnu(e) et apprécié(e)".

Ce choix, on se le pose en tombant sur le site de La Casa de Fieras.

Alors on persévère ou on se venge sur les biscuits ? ;-p

Ps : il est évident que, dans le second choix, nous pouvons motiver les futurs nouveaux jeunes créateurs. Mais c'est tout de suite moins drôle, non ? ;-p

... chez Creationfimo cette semaine !

Rien que trois coups de coeur s'il vous plaît !

ça m'évitera de faire trop de blablas, tiens,  parce que ce matin j'ai un peu du mal à me réveiller !

Alors place aux oeuvres : celle de Danym d'abord, qui fait des colliers toujours aussi "habités", qui personnellement me remplissent d'émotion :

Puis Marie-France qui a capturé avec bonheur les herbes de l'automne :

Enfin Nadège qui nous offre des petits oiseaux qui vont cuicuiter à nos oreilles (plus poétiques que ces scgnnn..... de pies qui me réveillent tous les matins avec leurs jacasseries insupportables !)

Portez-vous bien et à la semaine prochaine !

Le syndrome de la page blanche n'existe pas dans un monde ou on s'inspire de Pablo Picasso. IL inspirait déjà ses contemporain, à voir la quantité de portraits soit en peinture soit en photo. Il y a tant de couleurs de formes de messages différents dans chacune de ses oeuvres que chacune des participantes qui s'est penchée sur ce sujet d'été a trouvé un moyen de s'exprimer à sa façon. Voici la série des créations inspirées par l'oeuvre de pablo Picasso (incluant les portraits de ses contemporains) proposées par les polyméristes de Créationfimo. Un grand BRAVO à toutes!

YSSEYM

FLORENCE CREATION MY WAY

LUA ANITA

MARIE FRANCE POLYMERAMOI

LIZ AND FROG

VEFA'CREATIVE

MAERYS

AMARENA

JANCYDOLL

avec Pati

Aujourd'hui, pour une femme, porter un pantalon n'est en rien extravagant. Dans les années folles 1920/1930), il en était tout autrement :

A l'époque, et quelques années avant, une femme portant un pantalon et arborant une coupe de cheveux courte était forcément homosexuelle. Elle n'était acceptée ni dans les églises, ni dans les écoles laïques (soit-dit en passant, les établissements scolaires acceptent les pantalons seulement vers les années 60 et portés sous une jupe, seulement en hiver, pour se protéger du froid).

En 1924, les jupes "courtes" sont en moyenne à 26cm ... du sol !

En 1930, Violette Moris, entraineuse à la Fédération Féminine Française de Sport fut renvoyée parce sa tenue était jugée trop masculine. Elle porta plainte et fut déboutée par le tribunal qui déclara : " porter un pantalon n'étant pas d'un usage admis pour les femmes, la fédération féminine sportive de France avait parfaitement le droit de l'interdire".

Heureusement, le combat de ses femmes a porté ses fruits. Sans entrer dans de grands discours féministes, nous arrivons aujourd'hui à nous affirmer sans peur.

Pourquoi cette petite note culturelle me direz-vous ? Pour parler d'une artiste qui s'inspire grandement de cette partie de l'histoire. Du coup, on regarde les créations de Miss Zabeth avec un oeil encore plus attentif ! ;-)

Avec la fin de l'été, et le début de l'automne, certaines choses ont tendance à tomber.

Les feuilles d'abord, et même les feuilles d'impôt...

La pluie parfois (bon, pas ici c'est vrai, et pourtant on en aimerait bien un peu !)

Mais aussi les marrons !

Figurez-vous que les marrons ça tombe, et ça tombe de haut souvent.

Et savez-vous où ça tombe les marrons ?

SUR MA VOITURE !!!!!

Et ça fait poc poc poc, un bruit amusant, mais aussi  de toutes petites alvéoles dans ma carosserie !

(Vous vous en fichez ? vous n'avez ni voiture ni marronier ? Vous avez bien raison ! Rien ne vaut un bon séquoia pour garer sa bicyclette !)

Bref : mon capot ressemble à un plat à escargot...

ça c'est le côté positif : en effet, je vais bientôt pouvoir le prêter à Medusa pour qu'elle y façonne ses méduses hallucinées en grosses quantités !!! (ben oui, de grosses quantités de marrons sont tombées sur ma voiture !)

Et en plus comme elles sont extralucides les méduses, elles pourront me prévenir quand un marron aura l'intention de tomber... Comme ça, moi, ni une ni deux  : j'enlève ma voiture !

Et hop !

pas si bête  ;-)

Pour beaucoup de polyméristes, tenir un blog est une chose importante.

Les artistes y racontent leurs mésaventures, leurs joies, leurs peines, en montrant les dernières créations. C'est une fenêtre ouverte sur le monde qui permet des échanges et des possiblités de rencontres infinis.

Qu'on ait le temps ou pas, qu'il soit rempli régulièrement ou pas, tenir un blog est un peu comme un prolongement de l'art.

Il arrive aussi qu'un blog soit une source de conflit, mais heureusement, cela est assez rare.

Aujourd'hui, pour dévier un peu des articles habituels du vendredi, nous allons parler de ces artistes qui résistent encore à l'attrait du "monde bloguesque".

Grâce aux forums, nous pouvons rencontrer, au grès de nos voyages, des créatrices (Messieurs, où êtes-vous ?^^) qui ont beaucoup de talent et qui ne nous le montre que très peu.

A nous donc, de les pousser du côté obsur de la force ! ;-p